Condamnée à la perpétuité, Leila est libérée après douze ans. Elle trouve refuge auprès d'un prêtre aveugle, qui cherche un(e) asistant(e) pour répondre à l'abondant courrier de ses ouailles. Indifférente au malheur d'autrui, Leila va tenter de profiter de la situation, n'hésitant pas à éliminer des paquets de lettres pour éviter d'écrire.